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Joëlle, la revenante

53 ans - Responsable de communication

 

Casse-cou, sportive, j'ai toujours aimé la vitesse quel que soit le moyen de m'y adonner. Et la moto figurait en bonne place ! Mais si l'idée de piloter une belle machine a toujours trotté dans un coin de ma tête, j’ai très tardivement passé le permis... 

 

1981 : quand j’ai obtenu le permis voiture, « comme sur des roulettes ! Â», il ne permettait malheureusement plus, comme c’était le cas quelques mois auparavant de pouvoir aussi conduire une 125, ce qui aurait été un bon début avant la prise en main de plus grosses cylindrées. 

 

Longtemps plus tard... 

 

1997 : un nouveau décret voit le jour et hop stipule qu’il est possible de conduire une 125 avec un permis B. Je tombe par hasard sur une machine rutilante à vendre à côté de chez moi, que j’achète illico, et qui deviendra mon moyen de transport pendant longtemps... Dans les dernières années, elle ne ressemblait plus à rien. Il était temps de passer à la vitesse supérieure. 

 

2010 : le déclic a lieu avec un changement de job qui m’emmène à la reconquête du petit papier rose. Après avoir appris le code de la route par cÅ“ur et suivi un nombre conséquent (je l'avoue!) de leçons de conduite, j’obtiens le graal du premier coup (ouf) !! 

 

2011 : je garde le souvenir encore ébloui d’un périple dans le Sud de la France longeant la vallée du Rhône pourvoyeuse de multiples sensations (très bons vins aussi!), les routes étroites et sinueuses du Luberon, les grands virages toniques en Ardèche et la remontée vers Lyon (qui signait hélas la fin du voyage) via les montagnes de mon adolescence. Divin.

 

J'aime cette sensation d'être une femme libre sur ma W650.

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